Charte / Charta

“Charte d’engagement politique”

Dans le cas où ma nomination en tant que Conseiller national était effective, je m’engagerai à continuer sur un code de conduite respectant une approche morale[1] et éthique[2] comme je l’ai toujours fait dans ma vie.

De plus, je m’engage aussi à ne pas briguer plus de 2 mandats.

DOMAINES D’ACTION

Mon éthique s’incarne dans les domaines d’action suivants : éthique dans le monde politique et du gouvernement de l’administration publique, éthique des affaires, management, gouvernement d’entreprise, responsabilité sociale, développement durable, labels éthiques fonds et rating éthiques.

Pour cela, je poursuis une manière de faire morale (par la recherche d’une conformité de ses actes avec des normes et des valeurs qui s’imposent. La morale prône la nécessité d’avoir des hommes vertueux) et éthique (par une démarche de réflexion personnelle et pragmatique qui permet d’orienter mon action, de faire des choix et d’agir en conséquence).

Concrètement, je poursuis une éthique opératoire, qui, en situation de travail, consiste à construire et améliorer son rapport à soi, aux autres, à la politique, aux administrations publiques, à l’entreprise et à son pays dans une perspective de développement personnel et collectif.

Pour cela, je m’appuie sur mes propres ressources, en :

– travaillant en équipe et avec les autres partis,

– animant et manageant les équipes et/ou les commissions,

– traitant des problèmes administratifs, techniques et relationnels,

– conduisant des projets de société,

– organisant et gérant le temps,

– gérant la performance du travail des équipes et/ou commissions

Mon but est de développer mon éthique et mes activités politiques et d’entreprise en faveur:

– des citoyens de notre pays,

– de toutes personnes en relation avec lui (collaborateurs, clients, partenaires, etc.).

Pour y parvenir, je :

– fournirai, en tout temps, un travail de haute qualité,

– offrirai à tous le maximum de compétences et d’engagement, de manière à créer un climat de collaboration, de confiance et d’honnêteté, ainsi que les règles déontologiques d’usage (c’est-à-dire, un ensemble de règles et de devoirs qui devraient régir le monde politique, la conduite de ceux qui l’exercent, les rapports entre ceux-ci et le citoyen),

– gérerai le monde politique et les instances gouvernementales avec efficacité et dynamisme pour obtenir la rentabilité à long terme permettant :

> d’accorder à tout citoyen une formation continue, des salaires adaptés, la sécurité de l’emploi etc;

> de mettre à disposition de la Suisse des services et compétences demandés,          répondant aux exigences pointues de notre pays;

> de contribuer efficacement à la vie économique générale et régionale;

– conduirai les équipes en respectant les principes suivants:

> agir envers les autres avec dignité et respect,

> inspirer le travail sous les meilleures bases d’autonomie et de confiance,

> inspirer le travail d’équipe par une exemplarité personnelle,

> travailler dans l’excellence,

> accepter de rendre personnellement des comptes,

> encourager des idées nouvelles,

> promouvoir l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle,

> être loyal et attentionné,

> être ouvert, honnête et discret,

> reconnaître et récompenser les succès,

> cultiver le développement personnel dans un environnement agréable,

> accepter le débat.

– garantirai la continuité de la vie de la Suisse par l’incitation des citoyens à la formation, à la créativité, à l’innovation et à l’adaptation au changement.

Mon éthique est la base de mon image auprès des citoyens, des instances publiques et de leurs partenaires et de l’économie.

La politique d’information découle de cette éthique et répond à la transparence et à l’image que je donnerai.

 

Sorens le 1er août 2011                                                Sandro Arcioni



[1]            La morale correspond à la démarche par laquelle un individu se conforme à des règles ou à des normes préétablies pour déterminer ce qui est bien ou mal.

[2]            L’approche éthique considère que l’idéal de ce qui est bon de faire procède d’une construction personnelle. L’éthique ne s’oppose cependant pas à la morale, elle l’englobe.

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